Chouchoutée comme une reine

Chouchoutée comme une reine

Je venais de faire connaissance avec Hélène et Pierre au resto. Nous avions mangé et bu, tout en papotant et en se dévorant des yeux. Hélène avait glissé sa main une ou deux fois sur ma cuisse, Pierre me faisait du pied sous la table…

On attendait l’ascenseur pour monter dans leur chambre. Comme à chaque fois, et malgré l’envie, un brin de timidité me faisait rougir.

La porte s’ouvrit. Je montais avec le couple. Dès la fermeture de la porte, Hélène s’avança vers moi, mit ses mains sur mes hanches et m’embrassa doucement. Pierre se cala dans mon dos. J’étais bien, en confiance, entre leurs deux corps.

Ding !

La porte s’ouvrit, Hélène prit ma main et me guida dans le couloir jusqu’au numéro 46. Un tour de clé et hop, me voilà de nouveau au milieu du couple. Sur le lit, des pétales de rose… quelques bougies sur les meubles, un seau à glace avec une bouteille de vin…

À l’unisson, ils m’embrassaient le cou, Hélène à droite, Pierre à gauche.

« Laisse-toi faire… » me susurra-t-il à l’oreille.
« Nous allons nous occuper de toi » me glissa-t-elle en suivant.

Les quatre mains se baladaient sur mes épaules, mon cou…, avec la même douceur, le même mouvement… comme une chorégraphie, leurs mains me caressaient, me palpaient, me massaient… Les bretelles de ma robe glissèrent : Elle se retrouva vite à mes pieds, libérant mes seins nus et le reste de mon corps.

Les quatre mains continuaient l’exploration de mon corps. Chaque courbe était caressée, chaque centimètre carré était aimé et chouchouté…

Cela m’enivrait de plaisir !

Hélène, face à moi, s’accroupit sensuellement, en baissant mon string violet. Quand son visage fut au niveau de mon sexe, elle déposa un baiser juste au-dessus de mon pubis. Ce qui me déclencha une vague de chaleur et un petit cri !

Mon string à terre, Pierre me fit basculer dans ses bras et me porta comme un prince charmant. Il me plaça au milieu du lit.

« Tu es bien installée ? »
« Comme une reine » lui répondis-je.

Ils se déshabillèrent rapidement et s’assirent de chaque côté de moi.

Pierre m’embrassa, tendrement, une de ses mains posée à l’arrière de mon cou, l’autre sur ma joue.
Hélène souriait. Elle tenait un flacon d’huile de massage et s’huilait les mains. Pierre fit de même. Une légère odeur de Ylang Ylang volait dans l’air. 

Alors, je fermai les yeux.

Les quatre mains se mirent à œuvrer. C’était un mélange entre caresses, frôlements et massages. Les épaules, les bras, les hanches, les cuisses, les jambes, les pieds…

Les mains contournaient habillement mon sexe… de façon à me faire languir… cette torture exquise, embrasait ma peau… D’instant en instant, je voulais qu’on le touche, qu’on le caresse… et soudain ! Je sentis une langue me lécher ! Mon corps s’affola !

« Oui oui ! Encore ! »

Je gémis ! Pierre jouait avec mes seins… Chaque titillement de téton raisonnait dans mon vagin !
Hélène, du bout de la langue, lentement… très lentement, remontait l’intérieur de ma cuisse, laissant une trace humide où elle souffla doucement ! Quel frisson cela me fit !

Elle entra le bout de son pouce, tout doucement, constata que j’étais bien mouillée. Elle le posa là, juste à l’entrée, sans bouger… dans un temps suspendu, le souffle arrêté… j’attendais… j’avais envie de bouger mes hanches, d’enclencher un va-et-vient ! Mais la main d’Hélène sur mon ventre, m’imposait la pause. Elle me regardait, droit dans les yeux… des beaux yeux verts, rieurs, coquins… plein de défi…

Dans la chambre, on entendait juste mon halètement et le son des titillements de mes tétons !

Puis, elle commença un va-et-vient, son pouce courbé pour mieux frotter l’arrière de mon vagin. Les cuisses bien écartées, le dos cambré, j’accueillais les sensations… Pierre, d’une main habile, s’occupait de mon clito !

Je sentais que de vague en vague, chaque parcelle de mon corps se tendait… Ma main agrippa la main de Pierre, ma tête se renversa et un éclair de plaisir remonta de mon clito à mon cerveau ! La décharge me fit crier !

Waouh, quel orgasme !

Je sentais encore mon cœur battre dans mon vagin… J’avais des fourmillements au bout des doigts, et ma respiration était encore vive…

Pierre et Hélène s’embrassaient au-dessus de moi, tout en continuant de me caresser…

Trio avec une Licorne

Trio avec une Licorne

Notre Licorne : Nous l’attendons mon compagnon et moi-même, dans la voiture sur le parking du sauna libertin. Nous nous sommes apprêtés pour elle : moi : une robe noire bustier, très courte, avec des perles, un porte jarretelle en dentelle noire, le string et les bas assortis. Mon homme toujours classe : son petit jean moulant noir, une chemise longues manches rose et des chaussures de ville noires.

Dans la nuit, au milieu des voitures, la belle Licorne arrive. Nous la regardons avec émerveillement ! C’est presque magique ! Elle arrive à pied, ses talons claquent, ses hanches ondulent,… Ses cheveux blonds détachés se balancent,… A l’approche de la voiture, elle se tourne et remonte sa robe pour bien nous montrer ses fesses blanches ! Oh la coquine ! Puis elle nous fait volte face et sourit, confiante en sa séduction…

Dans la voiture, on se regarde d’un air entendu et gourmand. D’un même geste, nous sortons et nous dirigeons vers elle. Un baiser à trois. L’as-tu déjà fait ? Hummm j’adore ! Une main dans le dos de mon chéri, une main sur la cambrure de la Belle, …. Leurs deux parfums se mélangent, nos langues et nos lèvres se goûtent ! C’est divin !

Elle me prend par la main, et nous nous dirigeons à l’entrée du sauna. A l’intérieur, un groupe d’hommes se tournent vers nous, ils ont l’air affamé et regardent avec jalousie mon chéri qui entre aux bras de deux belles femmes ! Le veinard !

Ça me fait rire de voir l’envie qu’on suscite ! Il faut dire que maintenant que je vois mieux la petite robe moulante de mon amie, je comprends l’effet ! J’ai envie de la lécher là, tout de suite, sur le bar, devant tous ces loups en rûte ! Freinant mon envie, je fais quand même glisser discrètement mon string, qui tombe à mes pieds. Émilie, un sourire aux lèvres, me regarde le ramasser et lui mettre dans sa main ! Son rire éclatant enivre et électrise toute la salle !

« Allez les filles, soyez sages ! » D’un regard coquin, mon homme nous dirige vers les vestiaires. On est déjà super chaudes. Je plaque Émilie sur la porte du placard, l’embrasse et passe une main sous sa robe,… Elle commence à me déshabiller, ses doigts se glissent entre les habits et ma peau… Mon chéri nous pelote les fesses de ses mains douces et chaudes… Il saisit un sein qui dépasse et commence à le téter avec avidité.

« Bonjour », nous lance un couple en entrant dans les vestiaires ! Surpris, la bouche à moitié pleine, les habits à moitié enlevés, nous prenons conscience tous les trois du tableau que l’on donne ! Riant de notre soif de retrouvailles, nous nous calmons, chacun ôtant ses propres habits, d’un sourire complice et coquin.

Ça y est, Christopher s’est enroulé les hanches de sa serviette, et nous les femmes, d’un paréo coloré et fleuri.

Une petite douche rapide, et hop, on prend la première chambre libre qui arrive ! Émilie fait tomber le fin tissu d’un air provocateur, et se couche sur le dos, cuisses écartées ! Je mate ses belles courbes et m’allonge sur elle. Christopher se couche à nos côtés, et embrasse Émilie,… Moi je suce ses tétons, tout en frottant mon entre-jambe au sien… Ses mains enserrent mes hanches, caressent mes fesses… Les trois corps se mélangent sensuellement, bientôt les respirations s’accélèrent à l’unisson, les peaux frissonnent. Je sème des petits baisers dans tous les coins de son corps, de sa féminité, je balade ma langue, sur les contours de sa petite chatte, … Je la sens se cambrer !

Je relève la tête et vois qu’elle suce la belle virilité de mon homme. Lui, caresse la tête de la jeune femme et m’envoie un baiser « amoureux » dans les airs. Il est aux anges ! Je m’approche pour mettre une deuxième langue sur sa queue, qui réagit instantanément ! Les va-et-vient de nos deux bouches durcissent le membre.

Soudain, Christopher s’écarte pour calmer le jeu, et il saisit un flacon de gel de massage. Il demande à Émilie de se coucher sur le ventre. Obéissante, elle se place entre nous deux. Nous commençons un massage à quatre mains : nos mains glissent à la fois pour détendre et pour émoustiller son corps. Nous nous glissons à tour de rôle sur son dos, sa nuque, ses épaules, ses cuisses, sa chatte… J’aventure mes doigts doucement dans son vagin humide,… et lentement puis plus rapidement, je titille le point G. Émilie se tend pour mieux accueillir les sensations, puis laisse éclater un bel orgasme, arrosant abondamment ma main… Lui laissant reprendre ses esprits, Christopher m’embrasse, nos têtes au-dessus de la Belle.

Mais Émilie se redresse et m’amène à me coucher sur le dos. Écartant mes jambes, elle commence à me lécher goulûment. A mon tour, je sens mon corps réagir,… Je commence à avoir chaud ! Mon cœur s’accélère… La langue savante, passe et repasse sur mon clito, me procurant des vagues de plaisir, … Je ne sais bientôt plus exactement ce que l’on me fait ! Ma tête part direct dans les brumes d’une douce euphorie !

Puis j’entends Christopher qui chausse un préservatif. Émilie, qui est toujours à quatre pattes au-dessus de moi, offre sa croupe alléchante ! Mon homme me regarde droit dans les yeux en pénétrant en levrette notre Licorne ! Il est beau dans sa virilité ! Je vois sur le visage de la Belle, le bien qu’il lui fait. Je suis les mouvements du couple, là sous eux, aux premières loges. Les seins de la Belle se balancent et frottent les miens. C’est extrêmement excitant. Je ne peux m’empêcher de me caresser, ils sont beaux dans leurs plaisirs !

Les mouvements s’accélèrent, les corps claquent à l’unisson, se crispent et crient d’une même voix ! Le temps est suspendu ! Ils s’écroulent de chaque côté de moi, je les accueille dans mes bras, souriante et repue de plaisir.

Dans les bras d’un charmant couple

Dans les bras d’un charmant couple

Caroline sonna à la porte de la maison.

Un homme lui ouvrit, petite chemise, jean moulant, casquette à la gavroche. Charles était tout à fait son style. Il avait un beau visage aussi, le petit anneau à l’arcade mettait en valeur ses yeux verts et coquins. Un magnifique tatouage sur son bras droit attirait le regard et donnait envie de soulever sa manche et tâter son biceps. « Miam je vais me régaler ! » se dit Caroline, en se mordillant la lèvre.

D’un sourire charmeur, il posa sa main sur sa hanche et l’attira à lui pour lui faire deux bises, … Ce premier contact la mit en confiance… C’était viril et tendre… Au passage, elle sentit son parfum, ce qui attisa encore ses sens…

Il s’écarta et lui présenta sa femme. Mélissa l’accueillit d’un sourire, dans une petite robe moulante noire, en simili cuir, ultra courte, ultra sexy ! La transparence du haut laissait deviner ses seins et ses tatouages. Perchée sur ses hauts talons aiguille dorés, elle était magnifique !

Caroline s’approcha, elle avait déjà terriblement envie de caresser cette belle poitrine,… mais elle l’embrassa timidement, deux bisous sur les joues… puis éclata de rire : « Je suis un peu timide au début ! Mais ne vous inquiétez pas cela ne dure pas longtemps ! »

Mélissa lui proposa de la débarrasser de son imperméable.

Caroline ouvrit son vêtement, bouton par bouton, entretenant le suspens, d’un sourire coquin et provocateur. La robe en résille rose fluo se dévoila enfin, elle moulait parfaitement son corps, ses seins ronds et dessinés, ses hanches larges et féminines, ses fesses musclées… Charles s’approcha de Caroline, les yeux brillants d’excitation ! « Tu es magnifique ! » Mélissa acquiesça d’un regard gourmand !

« Je t’offre à boire ? »

Ils s’installèrent dans le salon, un verre de rosé à la main, des petits bols remplis de bâtonnets de légumes, de dés de fromage et de gâteaux apéritif. Caroline était assise sur le canapé à côté de Mélissa. Charles s’était placé en face, sur un fauteuil.

Ils parlèrent de tout et de rien, des anecdotes de vie, des souvenirs libertins, ils riaient, la complicité se dessinait, les regards coquins fusaient de part et d’autre… Le désir montait petit à petit, pour chacun des trois, chacun savourant ce moment « d’avant », où l’on sait que dans quelques minutes ou quelques heures, on se mélangera, tous les trois, nos mains, nos langues, nos sexes !

Puis Mélissa se leva, et tout en demandant si quelqu’un voulait encore un peu de vin, elle se pencha subjectivement pour attraper la bouteille de vin sur la table basse.

La vue du superbe fessier de Mélissa, laissant apparaître en transparence son string noir, fit rougir Caroline d’un coup ! C’était le signal ! Elle n’y tenait plus !

Elle se leva et se plaça dernière Mélissa. Collée à elle, elle commença à l’embrasser dans le cou, caressant ses seins au passage, ses hanches, ses fesses…

Les corps ondulaient doucement, apprenant la douceur de l’autre… Charles souriait et regardait les deux femmes, belles à croquer ! Caroline remonta doucement la robe noire pour aller chercher et enlever le string. Puis elle s’accroupit et commença à caresser les cuisses bronzées, remontant doucement vers la petite chatte, puis esquivant au dernier moment.

Mélissa commençait à respirer plus rapidement,… Caroline était aux anges ! Que c’est beau un corps de femme ! Puis elle embrassa le clito, lui donna un petit coup de langue, puis un deuxième, elle sentait le corps de sa partenaire s’offrir et se cambrer !

Son désir montait trop vite, Mélissa fit asseoir Caroline sur le canapé.

Charles se rapprocha, et s’assit tout sourire à côté de leur hôte. Caroline se laissa faire. Elle adorait se faire chouchouter par un couple. L’homme l’embrassa, une main dans son cou. Caroline, se sentit fondre de plaisir : cette main dans son cou, c’était le comble de la sensualité ! Mélissa la caressait, ses mains douces parcouraient délicatement tout son corps …

Très vite, Caroline ferma les yeux, pour mieux sentir les sensations, des mains qui la caressaient, qui écartaient doucement son intimité, celles qui titillaient ses tétons, des langues qui gouttaient sa peau,… de sa propre respiration qui se mélangeait aux deux autres, de l’envie qui envahissait les trois corps.

Caroline rouvrit les yeux, elle caressa la tête de Mélissa qui était entre ses deux cuisses, …

Mmmm Mélissa léchait divinement bien son clito, un doigt à l’entrée de son vagin faisait des petits mouvements haut et bas, assez lents… sa langue suivait le même rythme sur le petit bouton, … cela déclenchait des vagues régulières dans le bas ventre de Caroline.

Charles lui, s’occupait de ses seins, une main jouait avec un téton, sa bouche jouait avec le deuxième…

Caroline commença à se cambrer, s’offrant tout entière à ce couple de coquins ! Elle gémissait, d’une main sur la tête, elle encourageait Mélissa à accélérer le rythme. L’autre main caressait le jean qui moulait une bite bien dure !

Elle avait envie d’être pénétrée ! Elle déboutonna le jean, laissant apparaître le trésor, qu’elle commença à branler doucement mais fermement, en regardant droit dans les yeux Charles, qui semblait apprécier le doigté !

Elle se mit à quatre pattes sur le canapé, elle dirigea sa bouche vers le membre dur, et l’embrassa doucement. Mélissa se positionna de façon à pouvoir lécher les bourses de son homme, toujours assis dans le canapé.

De cette façon, il avait deux bouches sur sa queue ! Le comble du paradis ! S’abandonnant à son tour, il profita de ces femmes, toutes deux concentrées à son plaisir. Il voyait ces deux bouches s’activer, elles suçaient, léchaient, aspiraient, il sentait le contact des deux langues, voyait les deux culs en l’air,… il claqua le premier à porter de main. C’était trop tentant !

Malgré le bruit intense, Caroline s’étonna de ressentir autant de plaisir à ce geste ! Que c’est bon ! Cela réveillait encore plus la coquine qui était en elle ! Elle allait et venait goulûment sur cette belle queue !

Charles très sensible à cette pipe, attrapa des deux mains les joues de Caroline pour la stopper ! D’un sourire complice, elle vint l’embrasser !

« Et si on allait sur le lit ? On serait mieux non ? « 

Arrivés dans la chambre, Mélissa enleva la robe de Caroline, qui elle-même déboutonnait la chemise de Charles ! En deux temps trois mouvements, ils se retrouvèrent à poil tous les trois…

Charles prit un double dong et dit « ça vous tente les filles ». D’un simple regard coquin, elles suent qu’elles en avaient envie toutes les deux.

Mélissa se coucha sur le dos, jambes écartées, intimité ouverte ! Caroline mit du gel sur les deux extrémités et insérant doucement le dong dans la chatte de sa partenaire, tout en se caressant elle-même. Charles se plaça à genoux, de chaque côté de la tête de sa chérie, qui jouait désormais avec ses mains et sa bouche sur l’engin de son homme.

Caroline inséra le dong dans son vagin, avec un soupir de plaisir, puis de son bassin, elle fit des va-et-vient. Les deux fleurs humides, se rencontraient à chaque mouvement, …Caroline embrassait Charles, offrant une vue sur ses seins aux yeux de Mélissa…

Les mains se baladaient, les respirations s’accéléraient…

Caroline se retira et s’allongea doucement sur sa partenaire de jeu. Lui caressant le visage, et l’embrassant.

Puis Mélissa la bascula sur le côté, de façon à se retrouver en haut. Charles se plaça derrière les deux femmes, les observant, il commença à doigter la chatte de Caroline, qui écartait bien les cuisses en gémissant. D’un geste viril, il tira les deux femmes sur le bord du lit. Puis mit un préservatif et insérant son sexe dans le vagin de Caroline, et un doigt mouillé dans le cul de sa compagne. Les deux femmes s’embrassaient, se caressaient,… leurs hanches bougeant au même rythme… Les trois corps ne faisaient maintenant plus qu’un ! Les respirations étaient à l’unisson… la sueur perlait, les mains pétrissaient, titillaient, les bouches mordillaient… tout se mélangeait ! Les vagues de plaisir montaient ! C’est Mélissa qui cria la première, dos cambré, gorge déployée et seins dressés… elle bascula sur le lit, sourire aux lèvres… matant les deux autres coquins ! Elle aimait voir son homme donnait du plaisir à une autre femme ! Ça l’excitait au plus haut point ! Ça la rendait fière !

Mains sur les hanches de Caroline, Charles accéléra le rythme… Caroline stimulait son clito du bout des doigts, recevant de tout son être le sexe bien dur !

Oh ! La vague déferla sur elle, traversa son corps depuis son sexe jusqu’à son cerveau, lui laissant échapper un râle de plaisir ! Charles donna encore quelques coups de hanches et libéra à son tour sa jouissance !

Encore sonnés et remplis de micro frémissements, ils s’allongèrent tous les trois, enlacés, et heureux !

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