Dans les bras d’un charmant couple

Dans les bras d’un charmant couple

Caroline sonna à la porte de la maison.

Un homme lui ouvrit, petite chemise, jean moulant, casquette à la gavroche. Charles était tout à fait son style. Il avait un beau visage aussi, le petit anneau à l’arcade mettait en valeur ses yeux verts et coquins. Un magnifique tatouage sur son bras droit attirait le regard et donnait envie de soulever sa manche et tâter son biceps. « Miam je vais me régaler ! » se dit Caroline, en se mordillant la lèvre.

D’un sourire charmeur, il posa sa main sur sa hanche et l’attira à lui pour lui faire deux bises, … Ce premier contact la mit en confiance… C’était viril et tendre… Au passage, elle sentit son parfum, ce qui attisa encore ses sens…

Il s’écarta et lui présenta sa femme. Mélissa l’accueillit d’un sourire, dans une petite robe moulante noire, en simili cuir, ultra courte, ultra sexy ! La transparence du haut laissait deviner ses seins et ses tatouages. Perchée sur ses hauts talons aiguille dorés, elle était magnifique !

Caroline s’approcha, elle avait déjà terriblement envie de caresser cette belle poitrine,… mais elle l’embrassa timidement, deux bisous sur les joues… puis éclata de rire : « Je suis un peu timide au début ! Mais ne vous inquiétez pas cela ne dure pas longtemps ! »

Mélissa lui proposa de la débarrasser de son imperméable.

Caroline ouvrit son vêtement, bouton par bouton, entretenant le suspens, d’un sourire coquin et provocateur. La robe en résille rose fluo se dévoila enfin, elle moulait parfaitement son corps, ses seins ronds et dessinés, ses hanches larges et féminines, ses fesses musclées… Charles s’approcha de Caroline, les yeux brillants d’excitation ! « Tu es magnifique ! » Mélissa acquiesça d’un regard gourmand !

« Je t’offre à boire ? »

Ils s’installèrent dans le salon, un verre de rosé à la main, des petits bols remplis de bâtonnets de légumes, de dés de fromage et de gâteaux apéritif. Caroline était assise sur le canapé à côté de Mélissa. Charles s’était placé en face, sur un fauteuil.

Ils parlèrent de tout et de rien, des anecdotes de vie, des souvenirs libertins, ils riaient, la complicité se dessinait, les regards coquins fusaient de part et d’autre… Le désir montait petit à petit, pour chacun des trois, chacun savourant ce moment « d’avant », où l’on sait que dans quelques minutes ou quelques heures, on se mélangera, tous les trois, nos mains, nos langues, nos sexes !

Puis Mélissa se leva, et tout en demandant si quelqu’un voulait encore un peu de vin, elle se pencha subjectivement pour attraper la bouteille de vin sur la table basse.

La vue du superbe fessier de Mélissa, laissant apparaître en transparence son string noir, fit rougir Caroline d’un coup ! C’était le signal ! Elle n’y tenait plus !

Elle se leva et se plaça dernière Mélissa. Collée à elle, elle commença à l’embrasser dans le cou, caressant ses seins au passage, ses hanches, ses fesses…

Les corps ondulaient doucement, apprenant la douceur de l’autre… Charles souriait et regardait les deux femmes, belles à croquer ! Caroline remonta doucement la robe noire pour aller chercher et enlever le string. Puis elle s’accroupit et commença à caresser les cuisses bronzées, remontant doucement vers la petite chatte, puis esquivant au dernier moment.

Mélissa commençait à respirer plus rapidement,… Caroline était aux anges ! Que c’est beau un corps de femme ! Puis elle embrassa le clito, lui donna un petit coup de langue, puis un deuxième, elle sentait le corps de sa partenaire s’offrir et se cambrer !

Son désir montait trop vite, Mélissa fit asseoir Caroline sur le canapé.

Charles se rapprocha, et s’assit tout sourire à côté de leur hôte. Caroline se laissa faire. Elle adorait se faire chouchouter par un couple. L’homme l’embrassa, une main dans son cou. Caroline, se sentit fondre de plaisir : cette main dans son cou, c’était le comble de la sensualité ! Mélissa la caressait, ses mains douces parcouraient délicatement tout son corps …

Très vite, Caroline ferma les yeux, pour mieux sentir les sensations, des mains qui la caressaient, qui écartaient doucement son intimité, celles qui titillaient ses tétons, des langues qui gouttaient sa peau,… de sa propre respiration qui se mélangeait aux deux autres, de l’envie qui envahissait les trois corps.

Caroline rouvrit les yeux, elle caressa la tête de Mélissa qui était entre ses deux cuisses, …

Mmmm Mélissa léchait divinement bien son clito, un doigt à l’entrée de son vagin faisait des petits mouvements haut et bas, assez lents… sa langue suivait le même rythme sur le petit bouton, … cela déclenchait des vagues régulières dans le bas ventre de Caroline.

Charles lui, s’occupait de ses seins, une main jouait avec un téton, sa bouche jouait avec le deuxième…

Caroline commença à se cambrer, s’offrant tout entière à ce couple de coquins ! Elle gémissait, d’une main sur la tête, elle encourageait Mélissa à accélérer le rythme. L’autre main caressait le jean qui moulait une bite bien dure !

Elle avait envie d’être pénétrée ! Elle déboutonna le jean, laissant apparaître le trésor, qu’elle commença à branler doucement mais fermement, en regardant droit dans les yeux Charles, qui semblait apprécier le doigté !

Elle se mit à quatre pattes sur le canapé, elle dirigea sa bouche vers le membre dur, et l’embrassa doucement. Mélissa se positionna de façon à pouvoir lécher les bourses de son homme, toujours assis dans le canapé.

De cette façon, il avait deux bouches sur sa queue ! Le comble du paradis ! S’abandonnant à son tour, il profita de ces femmes, toutes deux concentrées à son plaisir. Il voyait ces deux bouches s’activer, elles suçaient, léchaient, aspiraient, il sentait le contact des deux langues, voyait les deux culs en l’air,… il claqua le premier à porter de main. C’était trop tentant !

Malgré le bruit intense, Caroline s’étonna de ressentir autant de plaisir à ce geste ! Que c’est bon ! Cela réveillait encore plus la coquine qui était en elle ! Elle allait et venait goulûment sur cette belle queue !

Charles très sensible à cette pipe, attrapa des deux mains les joues de Caroline pour la stopper ! D’un sourire complice, elle vint l’embrasser !

« Et si on allait sur le lit ? On serait mieux non ? « 

Arrivés dans la chambre, Mélissa enleva la robe de Caroline, qui elle-même déboutonnait la chemise de Charles ! En deux temps trois mouvements, ils se retrouvèrent à poil tous les trois…

Charles prit un double dong et dit « ça vous tente les filles ». D’un simple regard coquin, elles suent qu’elles en avaient envie toutes les deux.

Mélissa se coucha sur le dos, jambes écartées, intimité ouverte ! Caroline mit du gel sur les deux extrémités et insérant doucement le dong dans la chatte de sa partenaire, tout en se caressant elle-même. Charles se plaça à genoux, de chaque côté de la tête de sa chérie, qui jouait désormais avec ses mains et sa bouche sur l’engin de son homme.

Caroline inséra le dong dans son vagin, avec un soupir de plaisir, puis de son bassin, elle fit des va-et-vient. Les deux fleurs humides, se rencontraient à chaque mouvement, …Caroline embrassait Charles, offrant une vue sur ses seins aux yeux de Mélissa…

Les mains se baladaient, les respirations s’accéléraient…

Caroline se retira et s’allongea doucement sur sa partenaire de jeu. Lui caressant le visage, et l’embrassant.

Puis Mélissa la bascula sur le côté, de façon à se retrouver en haut. Charles se plaça derrière les deux femmes, les observant, il commença à doigter la chatte de Caroline, qui écartait bien les cuisses en gémissant. D’un geste viril, il tira les deux femmes sur le bord du lit. Puis mit un préservatif et insérant son sexe dans le vagin de Caroline, et un doigt mouillé dans le cul de sa compagne. Les deux femmes s’embrassaient, se caressaient,… leurs hanches bougeant au même rythme… Les trois corps ne faisaient maintenant plus qu’un ! Les respirations étaient à l’unisson… la sueur perlait, les mains pétrissaient, titillaient, les bouches mordillaient… tout se mélangeait ! Les vagues de plaisir montaient ! C’est Mélissa qui cria la première, dos cambré, gorge déployée et seins dressés… elle bascula sur le lit, sourire aux lèvres… matant les deux autres coquins ! Elle aimait voir son homme donnait du plaisir à une autre femme ! Ça l’excitait au plus haut point ! Ça la rendait fière !

Mains sur les hanches de Caroline, Charles accéléra le rythme… Caroline stimulait son clito du bout des doigts, recevant de tout son être le sexe bien dur !

Oh ! La vague déferla sur elle, traversa son corps depuis son sexe jusqu’à son cerveau, lui laissant échapper un râle de plaisir ! Charles donna encore quelques coups de hanches et libéra à son tour sa jouissance !

Encore sonnés et remplis de micro frémissements, ils s’allongèrent tous les trois, enlacés, et heureux !

Sur le meuble de la salle de bain

Sur le meuble de la salle de bain

C’était comme on les appelait, une semaine avec enfants. Et la plupart du temps, on se tenait à carreau, car les murs comme les ado avaient des oreilles, si vous voyez ce que je veux dire. Mais là, j’avais mes hormones en feu ! J’avais envie de baiser, et il n’y avait pas 36 solutions pour faire baisser la pression.

Toute la soirée, entre la préparation du repas et la gestion des devoirs des enfants, on s’était chauffé : un regard coquin par ci, une main baladeuse par là… J’élaborais un plan dans ma tête pour pouvoir lui sauter dessus en toute discrétion…

C’était finalement pendant qu’il prenait sa douche, que je m’installai sans bruit sur le meuble en bois de la salle de bain. Le dos adossé à la fenêtre, les jambes relevées et écartées, je commençai à me caresser…

Il finit par sortir de sa douche, ruisselant, étonné de la vue plongeante que je lui offrais, il me regarda de ses petits yeux noisette, rieurs et coquins… mon Dieu ! Cet homme ! Il prit sa serviette et s’appliqua à prendre son temps pour essuyer… son visage d’abord, puis son torse lisse que j’adorais caresser, ses épaules, ses bras musclés…. moi, je me caressai toujours, les doigts jouant avec mon clito,… lui, faisant semblant de m’ignorer ! Le goujat ! Il jouait avec ma frustration ! Je redoublai d’intensité les cercles sur mon clito et alternai avec quelques entrées/sorties dans mon intimité… cela faisait des petits bruits de succion, qui, je le savais, l’émoustillaient beaucoup… Il me jeta un regard de défit !  Non, il ne craquerait pas !

Il continua à s’essuyer comme si je n’étais pas là… Il s’essuya le dos d’un geste de balancier qui faisait bouger ses biceps,…. droite, gauche,… droite, gauche,… il descendait en me fixant d’un air moqueur, la serviette atteignait maintenant ses reins, … là où j’aimais poser mes mains quand il me prenait, puis ses fesses, …. oh lala ! Ses fesses magnifiques qui me rendaient folle d’amour rien qu’à les regarder !

Je me caressais maintenant les seins, la nuque,… ma respiration s’était accélérée, … Il finit par poser sa serviette, tendit la main vers son déo, s’aspergea sous les bras et le torse en me regardant droit dans les yeux, d’un air sérieux… puis il s’approcha doucement…. sans me toucher,… sa bouche près de mon oreille, son odeur virile envahissant les narines,  il me murmura : « on dirait que tu as chaud ma belle… va falloir que je t’éteigne ! »

Je n’osais plus bouger. Allait-t-il me laisser comme ça et allait dormir ? Ou allait-il s’occuper de moi ?

Il était là… près de moi… le regard toujours aussi sérieux. Cette incertitude me sembla durer des heures, puis finalement toujours sans me toucher, il commença à jouer avec ses mains, et avec une lenteur extrême, il frôla mon corps : mon cou, mes lèvres, mes seins, mes hanches, mes cuisses… c’était à la fois divin et diabolique ! Je voulus l’embrasser, il se déroba ! J’avais tellement envie de lui !

Mais de son regard, je comprenais qu’il fallait que j’attende sagement, sans bouger, toujours les jambes écartées et offertes…

Il me posa un doigt sur les lèvres, me signifiant de ne pas faire de bruits, … je les entrouvris et commençai à lécher son doigt tendrement, puis avidement en faisant des allers/retours subjectifs… Il finit par descendre son doigt mouillé le long de mon cou,… que j’offrais, tête en arrière, dos cambré,… son doigt continua à descendre lentement sur ma poitrine, mon ventre, … puis jusqu’à mon intimité trempée !  Il l’enfonça d’un coup, me laissant échapper un petit cri !

Il enleva son doigt aussi rapidement qu’il l’avait mis, comme pour me punir !

Je le regardai, le priant du regard de me pardonner !

Ouf ! Il mit ses mains sur mes fesses et m’attira à lui, puis il porta sa bouche à ma chatte,… de sa langue, il titilla mon bouton de plaisir, caressant l’intérieur de mes cuisses, puis aspirant délicatement mes lèvres intimes, deux doigts dans mon puits d’amour, il faisait un va-et-vient lent et délicieux… j’entendais sa bouche me dévorer, je sentais sa salive se mélanger à ma mouille… de son autre main, il pinçait mon téton, je me sentais stimuler de partout ! Comme s’il pouvait être partout à la fois sur mon corps ! … Cela ne tarda pas ! Des vagues se succédèrent dans mes hanches, dans mon vagin, dans mon clito ! Il colla sa main sur ma bouche pour m’empêcher de crier ! Et aussitôt j’explosai ! Que c’était bon ! Quelle délivrance ! 

La respiration haletante, le corps en sueur, le sourire aux lèvres… je reprenais doucement pied avec la réalité… L’homme que j’aimais, sourire aux lèvres, mettait du dentifrice sur sa brosse à dent !

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