Chouchoutée comme une reine

Chouchoutée comme une reine

Je venais de faire connaissance avec Hélène et Pierre au resto. Nous avions mangé et bu, tout en papotant et en se dévorant des yeux. Hélène avait glissé sa main une ou deux fois sur ma cuisse, Pierre me faisait du pied sous la table…

On attendait l’ascenseur pour monter dans leur chambre. Comme à chaque fois, et malgré l’envie, un brin de timidité me faisait rougir.

La porte s’ouvrit. Je montais avec le couple. Dès la fermeture de la porte, Hélène s’avança vers moi, mit ses mains sur mes hanches et m’embrassa doucement. Pierre se cala dans mon dos. J’étais bien, en confiance, entre leurs deux corps.

Ding !

La porte s’ouvrit, Hélène prit ma main et me guida dans le couloir jusqu’au numéro 46. Un tour de clé et hop, me voilà de nouveau au milieu du couple. Sur le lit, des pétales de rose… quelques bougies sur les meubles, un seau à glace avec une bouteille de vin…

À l’unisson, ils m’embrassaient le cou, Hélène à droite, Pierre à gauche.

« Laisse-toi faire… » me susurra-t-il à l’oreille.
« Nous allons nous occuper de toi » me glissa-t-elle en suivant.

Les quatre mains se baladaient sur mes épaules, mon cou…, avec la même douceur, le même mouvement… comme une chorégraphie, leurs mains me caressaient, me palpaient, me massaient… Les bretelles de ma robe glissèrent : Elle se retrouva vite à mes pieds, libérant mes seins nus et le reste de mon corps.

Les quatre mains continuaient l’exploration de mon corps. Chaque courbe était caressée, chaque centimètre carré était aimé et chouchouté…

Cela m’enivrait de plaisir !

Hélène, face à moi, s’accroupit sensuellement, en baissant mon string violet. Quand son visage fut au niveau de mon sexe, elle déposa un baiser juste au-dessus de mon pubis. Ce qui me déclencha une vague de chaleur et un petit cri !

Mon string à terre, Pierre me fit basculer dans ses bras et me porta comme un prince charmant. Il me plaça au milieu du lit.

« Tu es bien installée ? »
« Comme une reine » lui répondis-je.

Ils se déshabillèrent rapidement et s’assirent de chaque côté de moi.

Pierre m’embrassa, tendrement, une de ses mains posée à l’arrière de mon cou, l’autre sur ma joue.
Hélène souriait. Elle tenait un flacon d’huile de massage et s’huilait les mains. Pierre fit de même. Une légère odeur de Ylang Ylang volait dans l’air. 

Alors, je fermai les yeux.

Les quatre mains se mirent à œuvrer. C’était un mélange entre caresses, frôlements et massages. Les épaules, les bras, les hanches, les cuisses, les jambes, les pieds…

Les mains contournaient habillement mon sexe… de façon à me faire languir… cette torture exquise, embrasait ma peau… D’instant en instant, je voulais qu’on le touche, qu’on le caresse… et soudain ! Je sentis une langue me lécher ! Mon corps s’affola !

« Oui oui ! Encore ! »

Je gémis ! Pierre jouait avec mes seins… Chaque titillement de téton raisonnait dans mon vagin !
Hélène, du bout de la langue, lentement… très lentement, remontait l’intérieur de ma cuisse, laissant une trace humide où elle souffla doucement ! Quel frisson cela me fit !

Elle entra le bout de son pouce, tout doucement, constata que j’étais bien mouillée. Elle le posa là, juste à l’entrée, sans bouger… dans un temps suspendu, le souffle arrêté… j’attendais… j’avais envie de bouger mes hanches, d’enclencher un va-et-vient ! Mais la main d’Hélène sur mon ventre, m’imposait la pause. Elle me regardait, droit dans les yeux… des beaux yeux verts, rieurs, coquins… plein de défi…

Dans la chambre, on entendait juste mon halètement et le son des titillements de mes tétons !

Puis, elle commença un va-et-vient, son pouce courbé pour mieux frotter l’arrière de mon vagin. Les cuisses bien écartées, le dos cambré, j’accueillais les sensations… Pierre, d’une main habile, s’occupait de mon clito !

Je sentais que de vague en vague, chaque parcelle de mon corps se tendait… Ma main agrippa la main de Pierre, ma tête se renversa et un éclair de plaisir remonta de mon clito à mon cerveau ! La décharge me fit crier !

Waouh, quel orgasme !

Je sentais encore mon cœur battre dans mon vagin… J’avais des fourmillements au bout des doigts, et ma respiration était encore vive…

Pierre et Hélène s’embrassaient au-dessus de moi, tout en continuant de me caresser…

Aparté sous la douche

Aparté sous la douche

La journée a été dure et longue… Je me sens lasse tandis que je me déshabille dans la salle de bain… Les vêtements tombent par terre les uns après les autres… Comme si j’essayais de m’alléger de ma fatigue… Je rentre dans la douche… 

C’est un moment sacré pour moi… 

Ma douche juste avant d’aller dormir, c’est ma récompense pour avoir géré ma journée, avec les joies et les ennuis… 

C’est la fin de la course quotidienne… C’est mon moment, de moi à moi… 

Je saisis le pommeau de douche et m’accroupis… J’attends que l’eau chauffe, puis toujours recroquevillée sur moi-même, je fais couler l’eau brûlante sur mon dos… de longues minutes… 

Elle m’enveloppe, je soupire d’aise… Je sens mes muscles se détendre peu à peu, mon cerveau lui aussi s’apaise, les pensées se calment… Elles se tournent vers les rires, les réussites, les moments de partage de la journée… Un sourire se dessine sur mes lèvres… 

Je prends le savon dans ma main et je commence à le passer sur mon corps, entre caresses et vitalité…

Mon corps revit… Les bras, les épaules, mes seins… mon ventre… 

Dans ma tête, des images de la soirée coquine d’hier… C’était une magnifique soirée libertine à 4, avec mon amoureux et un couple « chouchou » qu’on voyait pour la deuxième fois… 

Je frotte mes pieds, mes mollets, remonte aux cuisses… 

Je nous revois dans le jacuzzi… Les bisous très tendres de l’homme, ses jambes qui entouraient le bassin… 

Je continue à me savonner : mes fesses, mon sexe… humm… Je me rince… 

Les images continuent de filer : Sa bouche sur mon clito… sa main sur mon sein… les mecs seuls qui matent… hummm… 

J’ai envie d’un orgasme ! Tout mon corps le réclame !  Pour me relier encore à hier soir, pour me faire lâcher la fatigue d’aujourd’hui ! 

D’un geste précis, je change la pression du pommeau de douche, toujours accroupie, j’écarte mes cuisses, de ma main libre, je tire délicatement le capuchon vers le haut pour dégager mon clitoris. Je dirige le jet dessus. 

Aussitôt, il se dresse et crépite… Je continue… Par ma respiration, je retiens la montée de plaisir pour monter les strates, comme si pas à pas, je montais une échelle pour aller plus haut ! Plus je monte de marches, plus le feu d’artifices sera grand ! 

Je me revois lécher la blonde, ma tête entre ses cuisses, à guetter ses réactions et ses soupirs… 

Je monte… 

Mes doigts sur son bouton d’amour,… le jet de cyprine qui me mouille… 

Encore une marche ! Puis… je lâche tout ! Dans un long cri rauque et presque animal « ouiiiiiiii »… Tout mon corps se contracte et se relâche ! Je gémis encore, je tremble sous ce shoot de dopamine… Je me recroqueville sous l’eau chaude… Ahhh ça fait du bien…

J’entends encore les corps claquer… la bite de mon chéri entrer dans la chatte de la femme,… Elle aime ça… Elle lui réclame « défonce-moi ». 

Les doigts de l’homme qui me fouillent, mes cris sous la montée du plaisir… 

Je redirige le jet d’eau sur mon clito… Je monte les marches quatre par quatre et jouis une deuxième fois !  

J’ai adoré quand couchée sur le dos, jambes écartées, la femme sur moi, ventre à ventre, l’homme nous a doigté toutes les deux en même temps ! Nos cris à l’unisson, nos clitos qui se frottaient sous le rythme ! 

Je reprends mes esprits et ma respiration tout en me massant le cuir chevelu avec mon shampoing… 

Je connais mon corps, je sais que le 3ᵉ orgasme sera énorme ! 

 

En haut du Donjon – Partie 2

En haut du Donjon – Partie 2

Le début de l’histoire, c’est ici : Partie 1

PARTIE 2 : ENTRE LÂCHER PRISE ET JOUISSANCE

La pause est terminée. A. m’a nourrie et donnée à boire.

Assise sagement sur le tapis rouge, vêtue seulement de bracelets de cuir aux chevilles et poignets, mon esprit est plutôt calme, même si je redoute un peu la reprise. Mon corps s’est calmé et s’est refroidi.

Discrètement, j’ai pu observer Maître F.  C’est un homme charismatique… grand avec des yeux bleus très clairs… un regard troublant, rieur et glacial ! Il est vêtu de noir : un pantalon en cuir, une belle chemise, des chaussures de ville classes et pointues.

« Lève toi. »

Il remet mon bandeau et me mène vers la Croix de St André. Il me colle contre le bois froid, dos à lui. Il lie mes poignets et mes jambes… Le bruit des chaînes résonne dans ma tête. Il me fait cambrer les reins, puis il caresse de ses lanières de cuir ma croupe offerte…

A nouveau, l’excitation, le doute et la peur m’envahissent… Ce mélange de sensation est étrange… comme si ma tête et mon corps n’étaient plus en accord…

Les coups commencent ! Ça claque !
Fort ! Je me tortille… toujours à me débattre intérieurement.  « Est-ce que j’aime ça ? »

Mais très vite, mon corps chauffe et apprécie les variations de rythme et de puissance. J’entends les talons de A. s’approchaient. Je devine que le maître nous distribue alternativement les volées. Je devine que les siennes sont bien plus fortes que les miennes ! Elle miaule… Elle a l’air d’aimer ça ! Ça m’excite…

Puis je sens sa main douce sur mon bassin, elle nous contourne, la croix et moi. Elle se place en face de moi, … Elle m’embrasse, ses deux mains sur mon visage. Ses lèvres fines sont divines et sucrées. Je sens son parfum… Mon esprit ne sait plus où maintenir son attention, entre claquement et douceur !

Soudain, le maître se colle derrière moi, une de ses cuisses se pressant sur mon sexe ! Ses mains sur ma poitrine. C’est une étreinte virile et sauvage, qui m’englobe totalement. Je me sens à la fois petite et grande… soumise, belle et désirable. Je me laisse aller complètement, je savoure… je pose ma nuque sur son épaule !  Ma respiration est vive, mon corps est en feu !

« Tu aimes ce que je te fais ? »
« Oui Maître »

D’une main sur mon cou, il me plaque à nouveau sur la croix. Toujours dans le noir, j’attends ! Clac ! Il vient de prendre un fouet ! Je le devine au bruit qu’il vient de faire dans l’air ! Je sens qu’il frôle mon corps… Son souffle me fait frissonner. Un deuxième coup claque sans que j’en sente l’impact… Je tremble ! Est-ce de peur ou d’excitation ? je ne sais plus. Je ne réfléchis plus.

Le maître sait gérer sa puissance ! Il sait jouer avec mon corps ! Il sait jouer sur la corde de la douleur ! Il ne va jamais trop loin… Malgré son sadisme et son plaisir évident, il est à l’écoute ! Je lui fais confiance. Et puis mon amour est là, sur le canapé. Il veille.

Ça s’accélère, ça pique, ça claque, …. et toujours les baisers de A, … un dernier mouvement, un dernier cri ! Et tout s’arrête…

« Tu es prête pour monter à l’étage. »

On me détache, je monte marche après marche, dans le noir, on me couche sur le dos et me relie les jambes…. Je sens des doigts me caresser la chatte, je gémis. A. me caresse, je sens aussi les mains et les baisers de mon homme. Mon corps est stimulé de partout… Je comprends qu’on m’installe sur une fuck-machine…

La bite commence à me pénétrer, doucement, de plus en plus profondément, les rythmes varient, lentement, plus vite, irrégulièrement, …. C’est une torture exquise… Je ne contrôle plus rien, ni ma respiration, ni mes battements de cœur, ni les réactions de mon corps… Je suis un feu ! Je suis un fleuve agité. Je suis un ouragan !  Des queues se présentent, je suce goulûment, j’entends des bruits de pénétration. Je comprends que mon homme s’amuse avec A.

Le maître me détache. Je suis debout, toujours dans le noir, je suis penchée en avant, en appui sur un meuble… Je comprends que le maître met un préservatif.  Il me pénètre d’un coup, mais je suis prête depuis longtemps ! Mon corps accompagne le rythme du bassin de l’homme en cuir. C’est bon ! Je gémis de plus en plus fort ! Il se retire et met ses doigts dans ma chatte !

Et sans comprendre ce qui m’arrive ! Mon corps s’arc-boute de plaisir ! Ça me traverse des orteils en haut de la tête.  Je crie ! Je pleure ! Puis je m’écroule dans les bras de mon homme, mes jambes ne pouvant plus me porter.

Et là, à terre tous les deux, je laisse aller toutes les larmes, je lâche tout le stress des derniers mois, toute la fatigue accumulée…

Quel orgasme incroyable !

L’effet petite robe noire

L’effet petite robe noire

Je suis au bureau déjà depuis une demi-heure. Concentrée sur mes chiffres et mon ordinateur,  je lève juste la tête à l’arrivée de ma collègue.

 

« Bonjour ! »
« Coucou, ça va ? »
« Oui oui… impeccable »

Caroline et moi, nous avons une amitié solide. Je sais tout d’elle, elle sait tout de moi. Nous commençons à nous raconter notre soirée de la veille, les petites disputes avec le chéri, les fous rires avec les enfants,… Assises à nos bureaux, face à face, on ne se voit que les yeux derrière nos ordinateurs.

Toujours dans notre discussion, elle se lève pour prendre une feuille à l’imprimante et passe dans mon champ de vision ! Je me fige ! Je me surprends à mater son petit cul moulé dans une robe noire ultra courte ! Une bouffée de chaleur monte en moi, j’ai vraiment chaud ! Je me mords la lèvre essayant de me reprendre, et de suivre la conversation !

« Oui oui, tu as raison », lui dis-je, essayant de répondre à sa question que j’ai à peine entendu.

Elle se rassoit. Heureusement elle a l’air à fond dans sa discussion et n’a rien vu de mon trouble.

Puis, j’entends l’imprimante se remettre en route : je sais qu’elle va se relever ! Je tente de garder mon regard sur mon écran,… Mais du coin de l’œil, j’aperçois son tatouage à travers son collant ! Elle a même mis ses cuissardes !  Mon excitation monte d’un cran !

Mais qu’est ce que j’ai ce matin ? Je ne vais quand même pas sauter sur mon amie.

Nos regards se croisent, et je me sens rougir !

« Ça va Élisabeth ? » Me demande-t-elle ?
Toujours franche entre nous, je lui réponds !
« J’adore ta robe ! Elle te fait un de ces culs ! Je vais avoir du mal à me retenir ! »

Elle se met à rire ! « T’es bête ! « 

Elle connaît ma bisexualité… Elle en est curieuse, elle n’a jamais essayé avec une femme… Moi je la trouve très belle, mais j’ai l’habitude de segmenter mes relations : les amis verticaux, les amis horizontaux,  les collègues de bureau…

Bref, ce matin, je ne suis pas du tout concentrée sur mon travail… J’ai la chatte toute trempée, j’ai du mal à penser à autre chose que son petit cul moulé…

Je me lève et lui propose : « Café ? »

Elle lève son nez de ses papiers et me dit : « Ouiiiii ! » J’adore son enthousiasme !

Elle a même mis du noir sur ses yeux de biche !  Et ses lèvres, hummmm…

Olala ! Vite un café ! Toute affairée, devant  la machine, je ne la vois pas arriver derrière moi. Soudain, je sens sa main sur ma taille ! Ça m’électrise immédiatement !  Je me tourne vers elle, troublée. Elle me sourit, d’un sourire coquin. Je vois qu’elle a deviné ce qu’elle éveille en moi ce matin !

Je n’en peux plus, je me tourne totalement vers elle, et l’embrasse fougueusement.  Je sens la douceur de ses lèvres… Elle a un goût de bonbon… Son cou sent la vanille. Je prends sa pince à cheveux  et détache ses longs cheveux lisses et bruns. Je plaque mes mains sur ses fesses rebondies, je sens qu’elle aime notre baiser… Je la serre dans mes bras, je la fais reculer et l’assois sur son bureau.

Je la regarde droit dans les yeux et lui demande : « Je continue ? » Elle rit ! Heureuse ! « Oui »

Alors, je lui enlève ses cuissardes, puis son collant. Je caresse ses cuisses blanches et commence à les embrasser. Je laisse des traces de rouge à lèvres, comme si je semai des petits cœurs sur sa peau ! C’est beau ! Je suis, de ma bouche, son immense tatouage, de sa cheville jusqu’au haut de sa cuisse.

Je l’embrasse à nouveau sur la bouche, ses cuisses m’entourent la taille… Ses mains se baladent sur mon corps… Je découvre son sein droit en tirant sur son décolleté !  Puis le gauche.  » Tu es magnifique » ! J’adore ses tétons rose clair ! Je caresse, j’embrasse les globes blancs ! Puis j’aventure mes doigts sur son string…

Elle commence à gémir,… Je la sens fébrile, dans l’attente du plaisir, dans l’excitation de la situation…

Je m’accroupis, la tête entre ses jambes ! Je baise l’intérieur de sa cuisse droite, lentement… puis de sa cuisse gauche… puis le haut de sa chatte… Elle tremble… Elle en veut plus !

J’écarte le tissu bleu roi et découvre de belles lèvres… Je les baise, je les lèche, avidement, je les tire délicatement, …

D’une main au-dessus de son sexe, je dégage le capuchon pour découvrir son clitoris. Je mouille les doigts de mon autre main, et commence à faire des petits mouvements sur son bouton d’amour. D’abord, de gauche à droite, doucement, puis avec un peu plus de pression… Avant que mes doigts ne soient trop secs, je les dirige vers son puits d’amour… Elle mouille de plaisir… Je fais des petits allers-venus, tout en aspirant son bouton.

Soudain, le téléphone sonne. De surprise, j’arrête mon mouvement. J’ai deux doigts à l’intérieur de son vagin, ma langue sur son clito.

Elle décroche le combiné : « Bonjour, Caroline à votre service »

Je reprends mes mouvements, très doucement.  Son intérieur est doux et chaud. Je tourne délicatement ma main, de façon à tourner ma paume vers le ciel… Je titille son point G, là où la peau forme un petit cercle un peu plus rugueux !

Elle étouffe un petit cri… puis me regarde d’un air à la fois coquin et paniqué. J’entends la voix de l’autre côté.  Je vois qu’elle tente de se concentrer sur ce que lui dit le client.

« D’accord… oui bien sûr…  » Sa deuxième main sert sa robe pour mieux s’empêcher de crier…

Je continue, … Je sens son désir monter malgré le contrôle dont elle fait preuve…

« Oui monsieur… Je vous rappelle cet après-midi. A tout à l’heure ».

Elle raccroche ! J’intensifie les mouvements : les allers-venus sont plus rapides. De mon autre pouce, je fais des cercles sur son clito…

Soudain, elle se mord un doigt pour ne pas faire de bruits, puis elle se cambre et renverse sa tête en arrière pour accueillir le flot de plaisir !  Son visage s’ouvre et s’illumine !

Elle est encore plus magnifique dans sa jouissance !

Que c’est beau une femme qui jouit !

Les yeux encore fermés, le sourire aux lèvres, Caroline finit de s’allonger sur son bureau et ses papiers pour reprendre sa respiration…

Je l’embrasse sur les lèvres et vais lui préparer un café !

Dans les bras d’un charmant couple

Dans les bras d’un charmant couple

Caroline sonna à la porte de la maison.

Un homme lui ouvrit, petite chemise, jean moulant, casquette à la gavroche. Charles était tout à fait son style. Il avait un beau visage aussi, le petit anneau à l’arcade mettait en valeur ses yeux verts et coquins. Un magnifique tatouage sur son bras droit attirait le regard et donnait envie de soulever sa manche et tâter son biceps. « Miam je vais me régaler ! » se dit Caroline, en se mordillant la lèvre.

D’un sourire charmeur, il posa sa main sur sa hanche et l’attira à lui pour lui faire deux bises, … Ce premier contact la mit en confiance… C’était viril et tendre… Au passage, elle sentit son parfum, ce qui attisa encore ses sens…

Il s’écarta et lui présenta sa femme. Mélissa l’accueillit d’un sourire, dans une petite robe moulante noire, en simili cuir, ultra courte, ultra sexy ! La transparence du haut laissait deviner ses seins et ses tatouages. Perchée sur ses hauts talons aiguille dorés, elle était magnifique !

Caroline s’approcha, elle avait déjà terriblement envie de caresser cette belle poitrine,… mais elle l’embrassa timidement, deux bisous sur les joues… puis éclata de rire : « Je suis un peu timide au début ! Mais ne vous inquiétez pas cela ne dure pas longtemps ! »

Mélissa lui proposa de la débarrasser de son imperméable.

Caroline ouvrit son vêtement, bouton par bouton, entretenant le suspens, d’un sourire coquin et provocateur. La robe en résille rose fluo se dévoila enfin, elle moulait parfaitement son corps, ses seins ronds et dessinés, ses hanches larges et féminines, ses fesses musclées… Charles s’approcha de Caroline, les yeux brillants d’excitation ! « Tu es magnifique ! » Mélissa acquiesça d’un regard gourmand !

« Je t’offre à boire ? »

Ils s’installèrent dans le salon, un verre de rosé à la main, des petits bols remplis de bâtonnets de légumes, de dés de fromage et de gâteaux apéritif. Caroline était assise sur le canapé à côté de Mélissa. Charles s’était placé en face, sur un fauteuil.

Ils parlèrent de tout et de rien, des anecdotes de vie, des souvenirs libertins, ils riaient, la complicité se dessinait, les regards coquins fusaient de part et d’autre… Le désir montait petit à petit, pour chacun des trois, chacun savourant ce moment « d’avant », où l’on sait que dans quelques minutes ou quelques heures, on se mélangera, tous les trois, nos mains, nos langues, nos sexes !

Puis Mélissa se leva, et tout en demandant si quelqu’un voulait encore un peu de vin, elle se pencha subjectivement pour attraper la bouteille de vin sur la table basse.

La vue du superbe fessier de Mélissa, laissant apparaître en transparence son string noir, fit rougir Caroline d’un coup ! C’était le signal ! Elle n’y tenait plus !

Elle se leva et se plaça dernière Mélissa. Collée à elle, elle commença à l’embrasser dans le cou, caressant ses seins au passage, ses hanches, ses fesses…

Les corps ondulaient doucement, apprenant la douceur de l’autre… Charles souriait et regardait les deux femmes, belles à croquer ! Caroline remonta doucement la robe noire pour aller chercher et enlever le string. Puis elle s’accroupit et commença à caresser les cuisses bronzées, remontant doucement vers la petite chatte, puis esquivant au dernier moment.

Mélissa commençait à respirer plus rapidement,… Caroline était aux anges ! Que c’est beau un corps de femme ! Puis elle embrassa le clito, lui donna un petit coup de langue, puis un deuxième, elle sentait le corps de sa partenaire s’offrir et se cambrer !

Son désir montait trop vite, Mélissa fit asseoir Caroline sur le canapé.

Charles se rapprocha, et s’assit tout sourire à côté de leur hôte. Caroline se laissa faire. Elle adorait se faire chouchouter par un couple. L’homme l’embrassa, une main dans son cou. Caroline, se sentit fondre de plaisir : cette main dans son cou, c’était le comble de la sensualité ! Mélissa la caressait, ses mains douces parcouraient délicatement tout son corps …

Très vite, Caroline ferma les yeux, pour mieux sentir les sensations, des mains qui la caressaient, qui écartaient doucement son intimité, celles qui titillaient ses tétons, des langues qui gouttaient sa peau,… de sa propre respiration qui se mélangeait aux deux autres, de l’envie qui envahissait les trois corps.

Caroline rouvrit les yeux, elle caressa la tête de Mélissa qui était entre ses deux cuisses, …

Mmmm Mélissa léchait divinement bien son clito, un doigt à l’entrée de son vagin faisait des petits mouvements haut et bas, assez lents… sa langue suivait le même rythme sur le petit bouton, … cela déclenchait des vagues régulières dans le bas ventre de Caroline.

Charles lui, s’occupait de ses seins, une main jouait avec un téton, sa bouche jouait avec le deuxième…

Caroline commença à se cambrer, s’offrant tout entière à ce couple de coquins ! Elle gémissait, d’une main sur la tête, elle encourageait Mélissa à accélérer le rythme. L’autre main caressait le jean qui moulait une bite bien dure !

Elle avait envie d’être pénétrée ! Elle déboutonna le jean, laissant apparaître le trésor, qu’elle commença à branler doucement mais fermement, en regardant droit dans les yeux Charles, qui semblait apprécier le doigté !

Elle se mit à quatre pattes sur le canapé, elle dirigea sa bouche vers le membre dur, et l’embrassa doucement. Mélissa se positionna de façon à pouvoir lécher les bourses de son homme, toujours assis dans le canapé.

De cette façon, il avait deux bouches sur sa queue ! Le comble du paradis ! S’abandonnant à son tour, il profita de ces femmes, toutes deux concentrées à son plaisir. Il voyait ces deux bouches s’activer, elles suçaient, léchaient, aspiraient, il sentait le contact des deux langues, voyait les deux culs en l’air,… il claqua le premier à porter de main. C’était trop tentant !

Malgré le bruit intense, Caroline s’étonna de ressentir autant de plaisir à ce geste ! Que c’est bon ! Cela réveillait encore plus la coquine qui était en elle ! Elle allait et venait goulûment sur cette belle queue !

Charles très sensible à cette pipe, attrapa des deux mains les joues de Caroline pour la stopper ! D’un sourire complice, elle vint l’embrasser !

« Et si on allait sur le lit ? On serait mieux non ? « 

Arrivés dans la chambre, Mélissa enleva la robe de Caroline, qui elle-même déboutonnait la chemise de Charles ! En deux temps trois mouvements, ils se retrouvèrent à poil tous les trois…

Charles prit un double dong et dit « ça vous tente les filles ». D’un simple regard coquin, elles suent qu’elles en avaient envie toutes les deux.

Mélissa se coucha sur le dos, jambes écartées, intimité ouverte ! Caroline mit du gel sur les deux extrémités et insérant doucement le dong dans la chatte de sa partenaire, tout en se caressant elle-même. Charles se plaça à genoux, de chaque côté de la tête de sa chérie, qui jouait désormais avec ses mains et sa bouche sur l’engin de son homme.

Caroline inséra le dong dans son vagin, avec un soupir de plaisir, puis de son bassin, elle fit des va-et-vient. Les deux fleurs humides, se rencontraient à chaque mouvement, …Caroline embrassait Charles, offrant une vue sur ses seins aux yeux de Mélissa…

Les mains se baladaient, les respirations s’accéléraient…

Caroline se retira et s’allongea doucement sur sa partenaire de jeu. Lui caressant le visage, et l’embrassant.

Puis Mélissa la bascula sur le côté, de façon à se retrouver en haut. Charles se plaça derrière les deux femmes, les observant, il commença à doigter la chatte de Caroline, qui écartait bien les cuisses en gémissant. D’un geste viril, il tira les deux femmes sur le bord du lit. Puis mit un préservatif et insérant son sexe dans le vagin de Caroline, et un doigt mouillé dans le cul de sa compagne. Les deux femmes s’embrassaient, se caressaient,… leurs hanches bougeant au même rythme… Les trois corps ne faisaient maintenant plus qu’un ! Les respirations étaient à l’unisson… la sueur perlait, les mains pétrissaient, titillaient, les bouches mordillaient… tout se mélangeait ! Les vagues de plaisir montaient ! C’est Mélissa qui cria la première, dos cambré, gorge déployée et seins dressés… elle bascula sur le lit, sourire aux lèvres… matant les deux autres coquins ! Elle aimait voir son homme donnait du plaisir à une autre femme ! Ça l’excitait au plus haut point ! Ça la rendait fière !

Mains sur les hanches de Caroline, Charles accéléra le rythme… Caroline stimulait son clito du bout des doigts, recevant de tout son être le sexe bien dur !

Oh ! La vague déferla sur elle, traversa son corps depuis son sexe jusqu’à son cerveau, lui laissant échapper un râle de plaisir ! Charles donna encore quelques coups de hanches et libéra à son tour sa jouissance !

Encore sonnés et remplis de micro frémissements, ils s’allongèrent tous les trois, enlacés, et heureux !

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