Viens me déguster tout entière !

Viens me déguster tout entière !

C’était l’anniversaire de mon chéri. Je lui avais préparé une surprise : Ce matin, je lui avais collé une enveloppe sur le volant, avec le petit mot suivant :

« Mon Bel Étalon ! Je t’invite à venir déguster ton dessert d’anniversaire sur mon corps, ce soir à l’hôtel du Palais Gourmand. A 20h, entre dans l’hôtel, traverse le grand couloir, et va directement à la chambre 69. Ne toque pas. Glisse-toi à l’intérieur de la pièce et ferme à clé. Je serai sur le lit, offerte à toi ! Sans un mot, déshabille-toi en me regardant droit dans les yeux puis embrasse-moi langoureusement… Enfin toujours dans le silence, déguste ton dessert sur moi…Tu peux faire ce que tu veux de moi. Je suis à toi pour deux heures. A 22h, rhabille-toi et part le sourire aux lèvres. »

Il était temps que je prépare la chambre. Je mis sur la table basse près du lit, un plateau rempli de nourriture : miel liquide, bombe de chantilly, petit bol de fraises et de framboises, quelques macarons dans une assiette, du topping au chocolat noir, quelques bonbons à la menthe glaciale, deux trois crayons alimentaires, quelques serviettes décorées de petits cœurs, deux pailles, et un paquet de lingettes… Un seau rempli de glaçons refroidissait une bouteille de Clairette de Die, notre vin préféré, une bouteille d’eau gazeuse et deux beaux verres à pied.

Je disposai également des bougies LED un peu partout dans la chambre, quelques pétales de roses par terre,…

L’heure approchait, je me préparai… Je me crémais le corps pour sentir bon et être toute douce, je mis de longues boucles d’oreilles, un peu de vernis « paillettes » sur les ongles des mains et des pieds, un rouge à lèvres rouge bien flashy, deux sprays de parfum dans la nuque et entre les seins, un petit string en dentelles couleur rubis. Je me coiffai les cheveux détachés comme il les aimait. Je suspendis négligemment sur la tête de lit, des menottes et deux petits foulards. Je ne doutais pas qu’il saisirait l’occasion ! Oups, j’allais oublier de mettre la musique… hop, je mis ma playlist « coquine ». Je fis un dernier tour d’horizon, pour voir si je n’avais rien oublié ! Non c’est bon, me dis-je d’un sourire…

Je m’installai donc sur le lit. Avec le crayon « au caramel », je m’inscrivis sur la jambe « joyeux anniversaire ! » Je disposai également des petits macarons de toutes les couleurs : un sur le sexe, un sur le nombril, puis remontant ainsi sur mon ventre, et entre mes seins nus. Je glissai une sucette entre mes lèvres et attendis patiemment que mon Don Juan arrive.

Quelques minutes plus tard, j’entendis la porte s’ouvrir, et quelqu’un se glisser à l’intérieur. J’attendais, toujours immobile, le cœur battant.

C’était lui. Il souriait, l’air à la fois étonné, ravi et excité. Il détailla d’abord le décor de la chambre puis les gourmandises disposées sur mon corps. Il enleva sa montre, la posa sur la commode, et jouant le jeu, il se déshabilla sans un mot, en me fixant droit dans les yeux. Moi, je faisais des petits bruits de succion avec ma sucette.

Nu, il s’avança vers moi, m’embrassa tendrement et commença à lécher le « joyeux anniversaire ». Lettre après lettre, coup de langue après coup de langue, c’était une douce torture, à la fois chatouilleuse et très excitante… Arrivé à la dernière lettre, il se releva d’un air satisfait, et tendit son bras vers le seau à champagne. Il se servit un verre et but doucement une première gorgée. Il s’approcha de moi, et me fit un baiser au goût de caramel, puis il entrouvrit doucement mes lèvres et me fit boire quelques gouttes de vin…

Il prit ma sucette dans sa main, la goûta : goût passion ! Quel beau clin d’œil ! Puis la reposa sur le bord d’une petite assiette.

Il attrapa les menottes, et m’attacha les deux mains de chaque côté de la tête de lit, puis fit de même avec les deux foulards et mes chevilles. J’étais là, couchée sur le lit, bras et jambes écartés, intimité ouverte, macarons parsemés sur le corps et sourire aux lèvres. J’étais à sa merci ! Il s’assit près de moi, sa cuisse touchant mon bassin…

Il prit le macaron au chocolat, mordit à la moitié, ferma les yeux pour savourer… puis enfin, il me le tendit vers la bouche… hmmm c’est vrai qu’il était très bon. Il fit de même avec les trois autres. Se partageant les goûts : moka/café, framboise/citron et réglisse/menthe… nous dégustions en silence… se dévorant des yeux en même temps…

Il se saisit du petit bol de fruits, et disposa une framboise sur chaque téton et une fraise sur mon clito. Il entoura les fruits d’un cœur en chantilly… Je me transformai en dessert ! Il goba la première framboise, laissant un peu de chantilly au coin de sa lèvre… quel dommage que je ne puisse pas lui enlever ! Il dut comprendre mon regard, car il lécha de façon très sexy son coin de bouche !

Puis fougueusement, il commença à passer ses mains sur mon corps, contournant les fruits et la chantilly. Il goba la deuxième framboise, puis s’attaquant à la fraise, il aspira habillement la chantilly, de façon à ne pas me toucher. Pourtant tout mon corps voulait qu’il me lèche, qu’il me suce, qu’il me croque ! Il voyait que je commençai à me tortiller, c’était le signe de mon impatience et du désir qui montait ! Il le savait, le coquin !

Il prit le chocolat, et se plaçant au-dessus de ma tête, il en fit couler sur sa virilité dressée. Du bout de la langue, je léchai le chocolat et sa queue, attentive à ne pas en laisser dans le moindre recoin… Il soupira d’aise… ma gourmandise l’excitait ! Je pris ses bourses dans la bouche et les gobai doucement… Je savais qu’il aimait cela, et cela se confirma à sa verge qui se durcit davantage. Il se retira, le sexe fier.

D’un sourire, il prit un glaçon et commença à le balader sur mon corps, m’arrachant un petit cri ! Chut, me fit-il d’un signe du doigt…. Les lèvres, le cou, … Le glaçon continuait son chemin, dressant mes tétons et mes poils au passage, … Il fit plusieurs fois le tour de chaque sein, laissant sa trace glacée,… Mon corps tremblait autant de désir que de froid,… ou de chaud, je ne savais plus ! Puis, il fit des cercles larges autour de mon sexe, … commençant par le nombril, puis passant sur ma hanche droite, le creux de ma cuisse droite, le creux de ma cuisse gauche, ma hanche gauche,… et comme cela, … encerclant de plus en plus serré mon pubis… jusqu’à frôler mes lèvres… jusqu’à ne faire que des petits ronds sur mon clito, du bout de ses doigts… Il glissa deux doigts glacés dans ma chatte humide… Je me cambrai pour mieux l’accueillir ! Il s’allongea sur moi, plantant son sexe au plus profond de moi, … deux râles sortirent de nos bouches ! C’était bon de ne faire qu’un ! Il sortait et entrait doucement, laissant nos ventres onduler ensemble. J’avais envie de le toucher, le caresser, mais je dépendais totalement de lui.

Je fermai les yeux pour mieux sentir toutes les sensations à l’intérieur de mon corps. Il m’embrassa, puis se mit à me mordiller le cou ! Que j’aimais ça ! C’était sauvage ! Et cela me faisait comme une décharge de plaisir ! Il se redressa et défit les deux foulards, libérant mes jambes. Il les bascula sur mes épaules, de façon à bien voir mon « petit trou ». J’étais ouverte prête à le recevoir ! Il humidifia ses doigts et plongea dans mon anus : Juste au début de l’entrée pour décupler les sensations ! Des petits mouvements de va-et-vient ! En même temps, il titillait mon bouton d’amour ! C’était divin ! Puis il entra sa queue, doucement, puis plus sauvagement ! On se regardait droit dans les yeux et pouvait voir le désir de l’autre monter. Il me défonçait le petit trou, et j’adorais ça ! De ses mains sur mes hanches, il accentuait le mouvement en plaquant nos corps l’un à l’autre à chaque coup de rein ! Je sentais ses bourses claquer sur mes fesses !

Soudain, je lâchai un grand ouiiiiiiiiiiiiii de jouissance… Il fit encore quelques allées et venues, et tout son corps se tendit sous l’intensité de son orgasme ! Il pris quelques minutes pour défaire les menottes, puis il s’affaissa sur moi, m’enveloppant de tout son corps chaud,… nos respirations à l’unisson se calmaient… On se laissa envahir de ce bonheur cotonneux…

Soudain, sa montre sonna, me sortant de ma rêverie. Il était 21h50. Il se leva, se rhabilla en me regardant intensément, puis il m’embrassa fougueusement et du bout des lèvres, sans bruit, me dit : « je t’aime ». La porte se referma, je restai seule sur le lit, le sourire aux lèvres.

Gloire aux Glory Holes !

Gloire aux Glory Holes !

Louis avait son sourire coquin ! Il amenait Aline au sauna et il avait une idée derrière la tête ! Ils venaient d’entrer dans le lieu libertin, ce n’était pas la première fois, mais comme toujours, cela intimidait sa chérie. Elle le suivait, confiante, sa main douce dans sa propre main, dans les couloirs noirs, tamisés avec des lumières rouges. Une petite douche et hop, les voilà dans le jacuzzi. Louis descendait doucement les marches, fier des regards qu’il voyait sur sa femme !

Ils s’assirent dans un petit coin, elle colla son dos contre son ventre,… Lui referma ses mains sur les seins de sa femme, et commença à lui faire des bisous dans le cou. Elle regardait les silhouettes des personnes présentes. A quelques mètres, deux couples se caressaient, les deux femmes bouche à bouche étaient belles, leurs petits soupirs de plaisir attiraient l’attention de tous. Dans un autre coin, un homme léchait une femme, elle surélevée, les cuisses écartées, le dos cambré, elle ondulait son bassin, au rythme des coups de langue !

À leur droite, un homme matait la scène, avec une délectation évidente !

Aline aimait cette ambiance, les silhouettes,… la tension érotique qui s’en dégageait, les respirations qui s’accéléraient, les mains qu’elle devinait baladeuses,… les soupirs de plaisir, …  les rires complices, et puis l’eau chaude, bouillonnante, qui caressait son corps… hmmmm cela l’excitait tant !

Louis caressait à présent ses cuisses, ses fesses,… puis il lui susurra à l’oreille… « J’ai envie que tu sois pour moi, une vraie salope ce soir ! Je veux que tu vides un max de couilles ! » Aline aimait quand Louis lui parlait cru, cela laissait libre cours à son côté dévergondé ! Elle se retourna, d’un air provocateur, lui demanda : « Où ? Et comment ? » En retour, il sourit, lui prit la main et se leva : « Viens »

Ils retraversèrent le jacuzzi, dévisagés par les dizaines de coquins et coquines qui étaient là. Elle savait qu’en sortant de l’eau, les hommes et les femmes regarderaient ses seins, ses hanches et ses fesses… Elle se sentait sexy et prédatrice !

Le couple parcourait les couloirs,… des hommes et des femmes s’arrêtaient pour les regarder passer, des regards coquins, des sourires,… puis Louis la fit entrer dans une pièce qu’elle ne connaissait pas. Il ferma la porte à clé et la coucha sur le matelas. Lentement, il installa sa tête entre ses jambes, souffla doucement sur son sexe lisse ; ce qui la fit frissonner violemment ! Il faisait monter la température, sans toucher sa belle petite chatte, des baisers dans l’entre-cuisse, des coups de langue sur le bas du ventre, des caresses sur les fesses… Aline commençait à se tortiller de plaisir et de frustration… mais elle savait que son homme récompenserait sa patience… Puis, il se mit à la lécher goulûment et elle se laissa aller à gémir… que c’était bon !

Soudain, alors que le plaisir était présent partout dans le corps d’Aline, il arrêta tout !  Elle ouvrit les yeux, presque sans comprendre ! Il souriait et l’invita à regarder le mur… Elle n’y avait pas prêté attention en entrant ! Il y avait 4 trous ! Louis avait réussi ! En excitant sa chérie, des hommes étaient venus à eux ! Des queues plus précisément !  Elles attendaient fièrement raides qu’on s’occupe d’elles ! 

« Sois ma salope ! Vide-les ! »

Au regard conquérant de son chéri, elle était aux anges ! Enfin aux démons plutôt ! Tout en fixant son homme dans les yeux, elle prit en main deux beaux sexes et commença à les branler, doucement, puis plus rapidement… un premier explosa dans sa main ! Et se retira du trou ! Elle se nettoya rapidement la main tout regardant Louis d’un air de victoire !

De suite, un autre membre prit sa place ! Elle enchaîna, amusée et excitée. Aline caressa les couilles à sa gauche et commença à sucer la queue à sa droite… Elle était toute concentrée au plaisir des hommes qui se présentaient à ses mains…  Elle entendait certains râles de plaisir de l’autre côté de la cloison, mais elle ne voyait rien d’autres que des queues ! Des petites, des larges, des longues, … elles défilaient,… elles réagissaient à ses caresses, à ses va-et-vient, à ses coups de langue, … Certaines éjaculaient entre ses doigts : 2, 3, 4 !

Aline regarda son homme. Il avait son regard fier ! Il se branlait !  Il était bien dur !  Hmmmm, elle avait trop envie qu’il la pénètre !  Sans lâcher les membres érigés, elle se tourna et offrit son cul à Louis ! Il mouilla ses doigts, caressant l’orifice, et mit sa queue ! Elle lâcha un cri de libération ! Les autres « queues » entendaient tout ! Mais elles ne pouvaient qu’imaginer la scène ! L’excitation monta d’un cran de part et d’autre de la cloison !

5, 6 ! Les sexes libéraient leurs jus,… Elle, elle bougeait son corps au rythme de son amant ! Elle criait,… Lui faisait ses allers retours tout en titillant son clito, les vagues arrivaient dans les deux corps ! « T’es ma salope ! » « Oui ! Je suis ta salope ! » Les queues étaient toujours là, elles tendaient leurs oreilles, elles validaient ! 

7, 8 ! Oui, une vraie salope ! Aline ressentait sa puissance de femme, elle attirait les hommes, ils la désiraient jusqu’au bout de leurs orteils ! Elle aimait ça ! Ils haletaient tous deux, le rythme était intense, le plaisir montait les paliers puis atteignit son paroxysme d’un coup ! Ils jouirent en même temps ! 9, 10 !

Ils s’allongèrent tous les deux, étonnés de l’intensité de leurs orgasmes. C’était fini : Les queues se retirèrent, certaines les remerciant…

Sur le meuble de la salle de bain

Sur le meuble de la salle de bain

C’était comme on les appelait, une semaine avec enfants. Et la plupart du temps, on se tenait à carreau, car les murs comme les ado avaient des oreilles, si vous voyez ce que je veux dire. Mais là, j’avais mes hormones en feu ! J’avais envie de baiser, et il n’y avait pas 36 solutions pour faire baisser la pression.

Toute la soirée, entre la préparation du repas et la gestion des devoirs des enfants, on s’était chauffé : un regard coquin par ci, une main baladeuse par là… J’élaborais un plan dans ma tête pour pouvoir lui sauter dessus en toute discrétion…

C’était finalement pendant qu’il prenait sa douche, que je m’installai sans bruit sur le meuble en bois de la salle de bain. Le dos adossé à la fenêtre, les jambes relevées et écartées, je commençai à me caresser…

Il finit par sortir de sa douche, ruisselant, étonné de la vue plongeante que je lui offrais, il me regarda de ses petits yeux noisette, rieurs et coquins… mon Dieu ! Cet homme ! Il prit sa serviette et s’appliqua à prendre son temps pour essuyer… son visage d’abord, puis son torse lisse que j’adorais caresser, ses épaules, ses bras musclés…. moi, je me caressai toujours, les doigts jouant avec mon clito,… lui, faisant semblant de m’ignorer ! Le goujat ! Il jouait avec ma frustration ! Je redoublai d’intensité les cercles sur mon clito et alternai avec quelques entrées/sorties dans mon intimité… cela faisait des petits bruits de succion, qui, je le savais, l’émoustillaient beaucoup… Il me jeta un regard de défit !  Non, il ne craquerait pas !

Il continua à s’essuyer comme si je n’étais pas là… Il s’essuya le dos d’un geste de balancier qui faisait bouger ses biceps,…. droite, gauche,… droite, gauche,… il descendait en me fixant d’un air moqueur, la serviette atteignait maintenant ses reins, … là où j’aimais poser mes mains quand il me prenait, puis ses fesses, …. oh lala ! Ses fesses magnifiques qui me rendaient folle d’amour rien qu’à les regarder !

Je me caressais maintenant les seins, la nuque,… ma respiration s’était accélérée, … Il finit par poser sa serviette, tendit la main vers son déo, s’aspergea sous les bras et le torse en me regardant droit dans les yeux, d’un air sérieux… puis il s’approcha doucement…. sans me toucher,… sa bouche près de mon oreille, son odeur virile envahissant les narines,  il me murmura : « on dirait que tu as chaud ma belle… va falloir que je t’éteigne ! »

Je n’osais plus bouger. Allait-t-il me laisser comme ça et allait dormir ? Ou allait-il s’occuper de moi ?

Il était là… près de moi… le regard toujours aussi sérieux. Cette incertitude me sembla durer des heures, puis finalement toujours sans me toucher, il commença à jouer avec ses mains, et avec une lenteur extrême, il frôla mon corps : mon cou, mes lèvres, mes seins, mes hanches, mes cuisses… c’était à la fois divin et diabolique ! Je voulus l’embrasser, il se déroba ! J’avais tellement envie de lui !

Mais de son regard, je comprenais qu’il fallait que j’attende sagement, sans bouger, toujours les jambes écartées et offertes…

Il me posa un doigt sur les lèvres, me signifiant de ne pas faire de bruits, … je les entrouvris et commençai à lécher son doigt tendrement, puis avidement en faisant des allers/retours subjectifs… Il finit par descendre son doigt mouillé le long de mon cou,… que j’offrais, tête en arrière, dos cambré,… son doigt continua à descendre lentement sur ma poitrine, mon ventre, … puis jusqu’à mon intimité trempée !  Il l’enfonça d’un coup, me laissant échapper un petit cri !

Il enleva son doigt aussi rapidement qu’il l’avait mis, comme pour me punir !

Je le regardai, le priant du regard de me pardonner !

Ouf ! Il mit ses mains sur mes fesses et m’attira à lui, puis il porta sa bouche à ma chatte,… de sa langue, il titilla mon bouton de plaisir, caressant l’intérieur de mes cuisses, puis aspirant délicatement mes lèvres intimes, deux doigts dans mon puits d’amour, il faisait un va-et-vient lent et délicieux… j’entendais sa bouche me dévorer, je sentais sa salive se mélanger à ma mouille… de son autre main, il pinçait mon téton, je me sentais stimuler de partout ! Comme s’il pouvait être partout à la fois sur mon corps ! … Cela ne tarda pas ! Des vagues se succédèrent dans mes hanches, dans mon vagin, dans mon clito ! Il colla sa main sur ma bouche pour m’empêcher de crier ! Et aussitôt j’explosai ! Que c’était bon ! Quelle délivrance ! 

La respiration haletante, le corps en sueur, le sourire aux lèvres… je reprenais doucement pied avec la réalité… L’homme que j’aimais, sourire aux lèvres, mettait du dentifrice sur sa brosse à dent !

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